Politique anti-plagiat

La revue Education et développement s'est dotée d'une politique anti-plagiat afin de protéger les droits d'auteurs et d'assurer le caractère inédit des textes qu'elle publie.

Chaque texte est soumis à la détection de plagiat à l’aide du logiciel Duplicate Content Checker

Le plagiat est la reproduction d’un texte, d’une partie d’un texte, de toute production littéraire ou graphique, ou la paraphrase d’un texte sans en indiquer l’auteur. Il viole les règles de l’éthique académique. Le plagiat constitue une violation du droit d’auteur et des droits de propriété intellectuelle. Lorsque l’auteur d’un ouvrage académique ressent le besoin de s’appuyer sur un autre texte, il doit le faire selon les règles suivantes :

Lorsqu’un extrait, même court, est cité exactement, il doit être placé entre des virgules inversées (ou en retrait et en caractères légèrement plus petits) et la référence (nom de l’auteur et source) doit être indiquée ; 

Le plagiat constitue une violation du droit d’auteur et des droits de propriété intellectuelle. Elle soulève des doutes sur les qualités attendues des contributeurs (pensée critique, créativité, honnêteté, capacité à développer un argument personnel) et est considérée comme une violation grave de l’éthique scientifique. Le plagiat jette le discrédit non seulement sur le travail incriminé, mais aussi sur le travail du plagiaire dans son ensemble et, par conséquent, sur sa compétence.

Mesure recommandée

Le plaignant doit être informé que l’affaire ne peut faire l’objet d’une enquête que si, à un moment donné, la revue « Education et développement » en informe l’auteur correspondant. La première étape doit être une simple comparaison des 2 textes pertinents.

Que se passe-t-il si l’éditeur détermine raisonnablement qu’il y a un chevauchement important du texte ?

Une lettre confidentielle résumant la plainte est envoyée à l’auteur qui fait l’objet de la plainte. En outre, « Education et développement » peut impliquer anonymement des pairs examinateurs, des membres du comité de rédaction ou des experts dans le domaine en utilisant des procédures standard d’évaluation par les pairs, pour examiner les textes (surtout si l’allégation est une forme plus complexe de plagiat). Un examen juridique peut être approprié si le plaignant ou son éditeur allègue une violation du droit d’auteur.

Que se passe-t-il si l’auteur de la plainte accepte la position du plaignant ?

Il peut toujours y avoir un désaccord sur la description correcte. Il suffit normalement d’indiquer simplement que l’article reproché comprenait des parties substantielles copiées sans attribution d’un article antérieur. Bien que le plaignant puisse estimer qu’une déclaration plus forte serait plus appropriée et si, en fait, le contrevenant se contentait de « faire passer » le matériel de quelqu’un d’autre pour le sien, une déclaration plus forte serait probablement appropriée, mais avec un examen juridique pour la diffamation. Enfin, l’éditeur peut avoir besoin de porter un jugement sur la langue appropriée pour la déclaration, s’il n’y a pas de consensus, et devrait le faire en consultation avec l’administration de la revue « Education et développement ».

Que se passe-t-il si l’auteur correspondant rejette la position du plaignant ?

La revue « Education et développement » examinera si l’explication de l’auteur est raisonnable, puis informera le plaignant de l’explication de l’auteur et demandera des commentaires avec justification.

Que se passe-t-il si l’auteur correspondant n’a pas répondu en temps opportun (environ 30 jours) à la correspondance de l’éditeur ?

Le rédacteur en chef de notre revue déterminera de façon appropriée que la plainte est fondée.

Que se passe-t-il si un organisme de financement est impliqué ?

Pour déterminer cela, la revue « Education et développement » doit examiner les déclarations de divulgation dans l’article incriminé. Si c’est le cas, nous pouvons envisager de communiquer avec l’agence.

Conséquences

Avertissement

Interdiction de publication au sein de la revue « Education et développement » pour une durée maximale de 2 ans.

Suppression définitive de l’article de notre site Web www.educationetdeveloppement.com

Réprimander

Interdiction permanente de publication au sein de la revue « Education et développement ».

Notification au doyen, recteur de l’université d’origine.